1. Lebendfotos
1.1. Falter
1.2. Raupe
1.3. Fraßspuren und Befallsbild
1.4. Puppe
2. Diagnose
2.1. Männchen
2.2. Weibchen
2.3. Genitalien
2.3.1. Männchen
2.4. Erstbeschreibung
3. Biologie
3.1. Habitat
3.2. Raupennahrungspflanzen
3.3. Nahrung der Raupe
- [Asteraceae:] Artemisia vulgaris (Gewöhnlicher Beifuß)
- [Asteraceae:] Artemisia campestris ??? (Feld-Beifuß ???)
- [Asteraceae:] Leucanthemum vulgare ??? (Gewöhnliche Margerite ???)
- [Asteraceae:] Tanacetum sp. ????
Die Daten sind eindeutig: Die Raupe lebt in aller Regel an Artemisia vulgaris und zwar an Pflanzen im Halb- bis Vollschatten von Gehölzen.
In der Literatur wird regelmäßig auch Artemisia campestris als Raupennahrung genannt. Sucht man nach einer konkreten Fundmeldung, wird man auf Becker (1861: 56-57) zurückgeführt, der unter der Überschrift "Transformations du Pterophorus scarodactylus H." mitteilte: "Ce Ptérophore a été excessivement commun cette année à Groenendael et à Uccle, c’est dans cette dernière localité que je pris le 15 juin dernier (1860), une grande quantité de chenilles que je reconnus plus tard pour être celles de cette espèce. J'obtins les premières éclosions le 4 juillet suivant; on voit par conséquent que ce Ptérophore subit ses transformations dans un espace de temps très court. La chenille qui rassemble à l'aide de fils les extrémités d'une feuille de l’artemise (Artemisia campestris). en ronge le parenchyme par grandes plaques en commencant par le milieu ; sa démarche est lente, elle ne quitte pas la plante sur laquelle elle est née. Les feuilles qu'elle ronge et flétrit trahissent sa présence, il serait fort difficile de la voir sans cela, sa couleur verte se confondant avec celle de la feuille; cette cheuille a la tête rougeâtre et fort petite, six pattes écailleuses, huit membraneuses, et les crochets au dernier anneau ; chaque segment présente en outre plusieurs tubercules saillants, surmontés de bouquets de poils longs et blanchâtres, puis au milieu, une tache triangulaire noire se séparant en deux pointes par le bas, avec un point noir de chaque côté. Lorsque l’époque de sa transformation en chrysalide est arrivée, elle se fixe par la queue à la nervure du milieu d’une feuille, le changement qui s'opère alors est si peu sensible qu'il faut y regarder de près pour s'en apercevoir, la chrysalide étant verte et velue comme la chenille. et presque de la mème dimension, elle reste une huitaine de jours dans cet état, puis enfin apparait l'insecte parfait, la chrysalide alors devient incolore et transparente." Aber hat Becker wirklich Artemisia campestris gemeint und nicht doch A. vulgaris ? Bei der zuvor besprochenen Art - Coleophora succursella - wird H. lienigianus bereits erwähnt (S. 54-55): "Le 15 juin (1860), en cherchant le long des talus qui bordent un chemin sablonneux à Uccle. les chenilles de Pterophorus scarodactylus, H.. sur l’artémise (Artemisia campestris)." Und jene Art lebt ja in der Tat an A. campestris und der Lebensraum würde auch zu dieser Pflanze passen. Allerdings beendet Becker seinen Text zu P. scarodactylus mit: "J'ai figuré planche II, fig. 5 a : une feuille de l’artémise rongée par la chenille avec une chrysalide attachée, grandeur naturelle." Und schaut man sich diese Tafel II an, wird klar, dass das nicht Artemisia campestris sein kann, sondern eben A. vulgaris und interessanterweise gilt das für die ebenfalls abgebildete Coleophora succursella ganz genauso. Einen sicheren Beleg für die Nutzung von A. campestris durch H. lienigianus scheint es nicht zu geben.
Literaturangaben zu "Leucanthemum vulgare bzw. "Tanacetum sp." sind unbelegt und wahrscheinlich unzutreffend, Angaben zu "Solanum" mit Sicherheit völlig falsch. Schmitz (1998: 226) listete "Leioptilus lienigianus Z." in seiner Tabelle "The Central European complex of phytophagous insects of Tanacetum vulgare based on personal observations, data from the literature and information from specialists." Klar wird aus seinen Ausführungen nur, dass er selbst in seiner Bonner Untersuchungsregion Platyptilia ochrodactyla zahlreich an dieser Pflanze fand, seine anderen beiden gelisteten Pterophoridae aber auf Fremdangaben beruhen; eine Quelle wird dabei nicht genannt.
(Autor: Erwin Rennwald)
4. Weitere Informationen
4.1. Etymologie (Namenserklärung)
Nach der livländischen [lettischen] Lepidopterologin Friederike Lienig geb. Berg (1790-1855).
Für weitere Infos s. auch: [Beitrag von Axel Steiner].
4.2. Andere Kombinationen
- Pterophorus lienigianus Zeller, 1852 [Originalkombination]
- Ovendenia lienigianus (Zeller, 1852)
4.3. Synonyme
- Pterophorus melinodactylus Herrich-Schäffer, 1855
- Pterophorus scarodactylus Becker, 1861
- Leioptilus serindibanus Moore, 1887
- Leioptilus sericeodactylus Pagenstecher, 1900
- Ovendenia septodactyla Tutt, 1905 (nec Treitschke)
- Pterophorus victorianus Strand, 1913
- Oidaematophorus linus Barnes & Lindsey, 1921
- Pterophorus hirosakianus Matsumura, 1931
4.4. Faunistik
Nach Sauter & Whitebread (2005) ist die Art in die Schweizer Lepidopterenfauna aufzunehmen.
4.5. Literatur
- Arenberger, E. (1975): Pterophoridae-Arten aus Ägypten (Lepidoptera). — Entomologische Zeitschrift 85 (10): 111-116.
- Becker, L. (1861): Observations sur quelques chenilles de Tinéides. — Annales de la Société entomologique Belge, 5 (1): 52-57, pl. 2. [Digitalisat auf biodiversitylibrary.org]
- Sauter, W. & S. Whitebread (2005): Die Schmetterlinge der Schweiz (Lepidoptera). 9. Nachtrag. — Mitteilungen der Schweizerischen Entomologischen Gesellschaft, Bulletin de la Société Entomologique Suisse, 78 (1/2): 59-115. [Digitalisat auf e-periodica.ch]
- Schmitz, G. (1998): The phytophagous insect fauna of Tanacetum vulgare L. (Asteraceae) in Central Europe. — Beiträge zur Entomologie, 48 (1): 219-235. [PDF auf contributions-to-entomology.org]
- [SCHÜTZE (1931): 192]
- Vogel, E. (1856): Friederike Lienig. — Allgemeine deutsche naturhistorische Zeitung. Neue Folge 2: 71-76 [Digitalisat auf www.wissenschaftskultur.de].
- Erstbeschreibung: Zeller, P. C. (1852): Revision der Pterophoriden. — Linnaea Entomologica 6: 319-416.