Oecocecis guyonella

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Erstbeschreibung

Inhalt

Lebendfotos Falter Diagnose Biologie Nahrung der Raupe Weitere Informationen Faunistik Literatur

2. Diagnose

2.1. Erstbeschreibung

1-14: Guenée (1870) [nach Copyright-freien Scans auf www.biodiversitylibrary.org]

3. Biologie

3.1. Nahrung der Raupe

[Plumbaginaceae:] Limoniastrum guyonianum
[Plumbaginaceae:] Limoniastrum monopetalum (Verwachsenkroniger Strauch-Strandflieder)

Schon in der Erstbeschreibung von Guenée (1870) wurden auch die Raupe und ihre Lebensweise beschrieben, noch einmal dann von Ragonot (1886) beim Vergleich mit Amblypalpis olivierella. Demnach lebt die Raupe in Stengel- oder Zweig-Gallen von Limoniastrum guyonianum.

Coutin (1995: 11) ergänzte dann sehr präzise: "Tout récemment, un ami qui rentrait de Tunisie m'a commumque un rameau de Limoniastrum monopetalum provenant de la région de Djerba et qui portait des galles, ce qui m'a remis en mémoire que j'avais découvert jadis avec la même surprise ce même type de déformation spectaculaire. [...] D'abord découverte dans la région de Biskra (Algérie) sur Limoniastrum guyonianum Durieux, plante saharienne, cette galle a été observée depuis à plusieurs reprises en Tunisie dans la région de Sousse sur Limoniastrum monopetalum (L.) Boissier in D.C., qui, à la différence du précédent, pousse dans les zones marécageuses maritimes de la Méditerranée occidentale (Baléares, Crête, Espagne, France, Italie, Portugal, Sardaigne, Sicile). Il s'agit d'une déformation ovoïde, de la grosseur d'une olive, qui se forme donc sur les tiges florifères du Limoniastrum guyonianum et du L. monopetalum. Ce genre ressemble à un Limonium; ils appartiennent tous les deux à la famille des Plumbaginaceae. [...] La femelle d'Oecocecis guyonianum insère chacun de ses œufs dans une blessure longitudinale, réalisée dans un pédoncule floral, à l'aisselle d'une feuille, avec son ovipositeur en forme de courte lame tranchante. L'œuf se trouve enrobé de sève. Après l'éclosion, chaque chenille provoque, probablement sous l'action de sa salive et de faibles mordillements, la prolifération des tissus voisins et le développement anormal des cellules des parois internes de la galle. Celle-ci, d'abord molle, durcit et acquiert une consistance ligneuse. En fendant la galle, on trouve à l'intérieur la chenille, de couleur blanc-jaunâtre, elle mesure 10 mm à la fin de sa croissance qui dure 8 mois environ, d'avril au mois de novembre. Avant de se nymphoser, la chenille découpe une partie de l'épaisseur de la paroi de la galle en forme de petit orifice circulaire, en ne respectant que l'épiderme, de sorte que ce "trou" reste invisible de l'extérieur, permettant cependant au papillon de forcer ultérieurement le passage pour s'échapper à l'extérieur au printemps suivant."

(Autor: Erwin Rennwald)

4. Weitere Informationen

4.1. Faunistik

Cerasa et al. (2014: 77) melden die Art als neu für Libyen und fassen zusammen: "Distribution: This species was described based on material from Algeria by Guyon on Limoniastrum guyonianum Boisson (Giraud, 1869, Grissell, 1995), and later recorded in Mauritania, Cyprus, Syria, Tunisia (Houard, 1912) and Italy (Sicily: De Stefani Perez, 1906). De Stefani Perez (1906) recorded Oecocecis guyonella commonly on Limoniastrum monopetalum (L.), mainly in the islets in front of the Trapani coast, abundantly on the Is. Grande (= Is. Lunga) (Stagnone of Marsala). The presence of this species is newly recorded in Libya."

Nel & Varenne (2024: 103) vermerken zu Frankreich und zur Arbeit von Leraut (2023): "En accord avec l’auteur, cette espèce n’existe pas en France. Elle a été citée pour la France pendant de nombreuses années, peut-être pour la première fois dans la liste Leraut de 1997 sous le n° 1447b dont l’origine serait une mauvaise interprétation de l’article de Coutin (1995)." Leraut (2023: 151) war nicht auf seine Fehlmeldung eingegangen sondern schrieb nur: "Distribution. Sicile; Afrique du Nord."