2. Biologie
2.1. Nahrung der Raupe
- [Zygophyllaceae:] Fagonia sinaica ?
- [Zygophyllaceae:] Fagonia sp. ?
Chrétien (1908: 91) schrieb bei seiner Estbeschreibung der Art auch ausführlich zur Raupe: "Chenille médiocrement allongée, atténuée antérieurement, â partir du 2e segment, et postérieurement à partir du 7e, un peu rétrécie aux 3e et 4e segments; le 2e segment est le plus renflé; les incisions des segments bien accusés. Sa couleur est d'un blanc laiteux mat, sans marque d’aucune sorte; verruqueux tout â fait indistincts, leur poil est excessivement court ou nul le plus souvent. Tête plus petite que le premier segment, â lobes bien arrondis, d'un brun fauve plus ou moins foncé, bordés de brun ferrugineux; épistome et organes buccaux noirâtres; ocelles peu distincts; écusson court, en demi-lune, brunâtre; clapet blond; pattes écailleuses fortement mamelonnées, écartées, courtes, mais assez robustes, de couleur blonde; pattes membraneuses rudimentaires, pourvues cependant de petits crochets roux; stigmates indistincts. Cette chenille vit dans un renflement des tiges de Fagonia, principalement de F. sinaica Boiss. (en arabe : cherrega). Ce renflement semble être plutôt produit, en général, par l'écorce, qui devient comme subéreuse, que par la tige elle-même. Presque toujours il est situé sur un côté de la tige, tandis que le côté opposé est normal et sans renflement; mais, sur les petits rameaux, le renflement affecte toute la tige. Sa forme n'est pas régulière : le plus souvent subcylindrique, mais parfois conique, allongé ou court, étroit ou élargi. Quelquefois, deux cécidies sont côte à côte sur la même tige. La galerie que creuse la chenille dans cette cécidie n'est pas d'égale largeur partout; c'est vers l'extrémité par laquelle doit sortir le papillon qu'elle est le plus spacieuse. Dans l'intérieur des galles, on ne trouve pas d'excréments. Les parois sont à peine tapissées d'une soie légère, blanchâtre, à l'endroit où se métamorphose la chenille. Après avoir rongé l'écorce jusqu'à l'épiderme, et préparé ainsi une sortie pour le papillon, la chenille descend au fond de sa galerie et s'y tisse un léger cocon dont l’orifice est clos par un opercule faiblement parcheminé. [...] Au printemps, la chenille, la chrysalide et le papillon se trouvent à la fois, de sorte qu'il est difficile d'assigner une époque bien déterminée pour chacun de ces états."
Das Problem? Povolný (1967: 156) bemerkte bei der Beschreibung seiner Vladimirea kahirica: "Die ersten drei Stücke dieser Art, die ich sah, waren sehr stark beschädigte Schmetterlinge aus Giza desert, pr. Cairo, Egypt. Später entdeckte ich weitere 40 ö . Zwei von ihnen stammen von Chretien aus Biskra, die übrigen zwei von Walsingham ebenfalls aus Biskra und aus Hammam-es Salahin. Sie wurden alle aus Gallen auf Fagonia (sinaica) gezüchtet und unrichtig als "Phloeocecis cherregella" bestimmt. Die Art ist demnach in Nord-Afrika weit verbreitet und Gallenerzeuger. Futterpflanze gehört zu Zygophyllaceae." Damit wird unklar, ob denn jetzt beide Arten diese Gallen erzeugen oder ob hier Chrétien etwas durcheinander gebracht hat.
3. Weitere Informationen
3.1. Faunistik
Locus typicus ist Biskra in Algerien.
(Autor: Erwin Rennwald)
3.2. Literatur
- Erstbeschreibung: Chrétien, P. (1908): Description de deux Géléchides nouvelles d’Algérie [Lép.]. — Bulletin de la Société entomologique de France, 13 (7): 91-93. doi : https://doi.org/10.3406/bsef.1908.24295; [Digitalisat auf persee.fr] bzw. [PDF auf persee.fr]
- Povolný, D. (1967): Vladimirea, gen. nov., eine neue Gattung der palaearktischen Gnorimoschemini und ihre Angehörigen (Lepidoptera, Gelechiidae). — Acta entomologica musei nationalis Pragae 37: 147-159. [PDF auf aemnp.eu]