Version 4 (neueste) vom 23. November 2021 um 6:32:53 von Erwin Rennwald
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In Europa fehlend (bisher keine Einschleppung nach Frankreich)!
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2. Biologie

2.1. Nahrung der Raupe

  • [Pinaceae:] Cedrus atlantica [= Cedrus libanotica ssp. atlantica] (Atlas-Zeder)

Zunächst strenggenommen noch unbekannt: Da die Falter im Atlas-Zeder-Wald gefunden wurde, gingen Chambon et al. (1990: 134) davon aus, dass die Raupe an Nadeln dieser Pflanze lebt. Dies wurde in der Folge auch bestätigt: Fabre et al. (1999: 205-206) können schreiben: "Ses dégâts, pratiquement partout visibles dans les cédraies Nord- africaines, peuvent être confondus avec ceux d'Epinotia cedricida (cf. infra). Les chenilles d'E. algeriensis consomment les aiguilles de l' année. Elles sont installées à l'intérieur de la rosette centrale du mésoblaste dont elles agglomèrent plus ou moins bien les aiguilles par des fils de soie. La phénologie de la tordeuse est proche de celle d'E. cedricida : le développement des chenilles débute plus précocement à partir du mois de juillet, il se poursuit durant l'automne et tout l'hiver, jusqu'au début du printemps."

3. Weitere Informationen

3.1. Etymologie (Namenserklärung)

Chambon et al. (1990: 132) erklären: "Cette espèce nouvelle a été nommée « algeriensis » en raison de sa première capture en Algérie dans la forêt de Babor."

3.2. Faunistik

Locus typicus ist der Forêt de Babor in Algerien.

Fabre et al. (1999: 205-206) können ergänzen: "Epinotia algeriensis Chambon a été décrite récemment à partir d'individus récoltés sur cèdre dans la cédraie - sapinière algérienne des Babors (CHAMBON et al, 1990). Des prospections ultérieures ont montré que cette tordeuse est présente dans toutes les cédraies algériennes et marocaines (FABRE, missions en Algérie : 1988, 1989 ; au Maroc : 1992). Ses dégâts, pratiquement partout visibles dans les cédraies Nord-africaines, peuvent être confondus avec ceux d'Epinotia cedricida (cf. infra)."

Sie fürchten daher, dass die Art - ähnlich wie Epinotia cedricida - auch in die Zedern-Forsten im Südosten Frankreichs eingeschleppt werden könnte. Von einer tatsächlichen Einschleppung - die später durch Lopez-Vaamonde et al. (2010: 656) daraus wurde - schreiben sie allerdings nichts. Da es bis heute keine konkreten Hinweise auf ein Vorkommen in Frankreich gibt, wird die Art im Lepiforum als in Europa bis zum Beweis des Gegenteils nie nachgewiesen betrachtet.

(Autor: Erwin Rennwald)

3.3. Literatur