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Falter
Männchen
Weibchen
Weibchen
Erstbeschreibung
Inhalt

1. Lebendfotos

1.1. Falter

2. Diagnose

2.1. Männchen

2.2. Weibchen

2.3. Genitalien

2.3.1. Weibchen

2.4. Erstbeschreibung

3. Biologie

3.1. Nahrung der Raupe

  • [Frankeniaceae:] Frankenia pulverulenta (Einjährige Seeheide)
  • [Apiaceae:] Crithmum maritimum (Meerfenchel)
  • [Cistaceae:] Helianthemum sp. (Sonnenröschen)
  • [Cistaceae:] Cistus sp. (Zistrose)
  • [Polygonaceae:] Polygonum equisetiforme (Schachtelhalmartiger Knöterich)
  • [Amaranthaceae: Suaedoideae:] Suaeda vera (Echte Sode)
  • [Fagaceae:] Quercus coccifera ?? (Kermes-Eiche ??)

Staudinger (1859: 243) hatte berichtet: "Im April fand ich bei Chiclana auf Quercus coccifera 5 bis 7 Coleopteren [recte: Coleophoren] ähnliche Säcke von dunkel holzbrauner Farbe. Dieselben sind pistolenförmig, hinten mit zwei grossen muschalartigen Klappen umgeben, die ganz hinten (unten am Schacht) ansitzen und nach oben an einen blattförmigen Ansatz des Stieles anschliessen. Die Raupen fressen bis in den Mai hinein, setzen sich dann fest und wurden von mir in eine eigene kleine Schachtel gesetzt; wie ich namentlich die Coleophoren stets auf das Strengste und Sorgfältigste separirte. Am 9. Juni kam das erste, kurz darauf das zweite heraus, welche selbst ohne Kenntnis des ein eigenes Genus durchaus bilden müssen."

Huertas Dionisio (2007: 114) kam - ebenfalls in Spanien - zu einem ganz anderen Befund: "Las orugas en el interior del tronco de una poácea que le sirve de refugio."

Suire (1948: 148-149) berichtete aus einer ex-ovo-Zucht bei Montpellier: "[...] Dans nos élevages, les pontes ont commencé le 1er juillet pour se terminer le 12 août. Elles s'échelonnent pour un même individu sur 8 à 10 jours, mais ce délai peut être parfois plus long : une femelle, par exemple, éclose le 21 juillet émit ses premiers œufs le 23 et les derniers le 8 août, en atteignant d'ailleurs un total de 184. [...] La ponte la plus importante que nous ayons obtenue a été de 203, mais la moyenne sur 110 femelles isolées nous a donné 158 œufs. Sans doute en liberté cette espèce est-elle même plus prolifique; les nombreux oeufs rencontrés dans l'abdomen des femelles élevées et mortes au laboratoire après avoir pondu le laissent supposer. C'est dans la région du collet que nous avons constaté les dépôts de pontes que dans la majorité des cas éclosent 12 à 15 jours après. Presque immédiatement les larves pénètrent à l'intérieur des tiges de plante basses, vident et en détachent un tronçon d'environ 20 mm. de long, le plus souvent après l'hivernage, et se déplacent ainsi transportant ce fourreau comme le ferait un Coleophore ou une Adela. Ce mode de vie paraît cadrer avec les rares données que l'on possède sur la biologie des Epidola. [...] La chenille d'E. stigma marque une préférence pour les Graminées et c'est à ce groupe qu'elle s'adresse plus particulièrement pour construire son étui. Néanmoins nous avons rencontré quelques rares fourreaux empruntés à des tiges de Labiées."

Und weiter: "Mais E. stigma est encore moins spécialisée dans son régime alimentaire. Staudinger, lors de la description de cette espèce (1) l'a signalée de Quercus coccifera et Walsingham (2) cite en outre comme plantes nourricières : Frankenia pulverulenta, Crithmum maritimum, Cistus et Helianthemum ssp. Pour se nourrir les chenilles d'E. stigma font sortir largement de leur étui un partie de leur corps, bien souvent plus de sa moitié. La partie antérieure de celui-ci tendue en ligne droite oscille en vibrant de tous côtés pour chercher un appui et progresser. Cette marche a lieu par brusques saccades de même que le retrait rapide de la larve dans son fourreau au moindre choc. Cette chenille arrive en général à toute sa taille au début de juin. Très allongée — 10 à 12 mm, — elle n'est large que de 1,5 à 2. Sa tête légèrement plus étroite que le 1" segment, d'un noir mat est recouverte d'un treillis d'hexagones petits et nettement délimités lui donnant un aspect semblable au grain d'un métal « martelé »."

Walsingham (1908: 950) hatte über ex-larva-Falter von Korsika an Frankenia pulverulenta und Crithmum maritimum berichtet, ferner von Cistus und Helianthemum in Südfrankreich.

[Bladmineerders.nl (abgefragt 2. November 2023)] bezeichnen die Raupe sicher zurecht als polyphag und erläutern: "The larva lives in an, about 2 cm long, hollow fragment of a dead plant stem, generally a grass, from there making fleck mines in Coleophora manner. Host plants: Cistus; Crithmum maritimum; Frankenia pulverulenta; Helianthemum; Polygonum equisetiforme; Quercus coccifera; Suaeda vera."

(Autor: Erwin Rennwald)

4. Weitere Informationen

4.1. Synonyme

4.2. Faunistik

Karsholt & Huemer (2017: 171) melden den Ersatnachweis für Kreta: "3♂♂, 4 km S. Topolia, 28.vii.-1.viii.2001, leg. Fibiger et al., genitalia slide Hendriksen 3269 (ZMUC)."

4.3. Literatur

4.4. Informationen auf anderen Websites (externe Links)